Mardi 25 mai 2004 (16h25)

Et puis donc?
Trois heures de sommeil et encore du train, écouter le cd fraîchement gravé quelques minutes plus tôt qu'on a intitulé Disjonction parallèle au feutre indélébile, remettre un début de mémoire pour pouvoir se sortir indemne (tiens il est bizarre ce mot, indemne) de la défense du 8 juin, profiter de la voiture de C. pour monter à Bruxelles, essayer de garder les yeux ouverts pendant la séance de shopping, trouver enfin des livres introuvables à la FNAC, décider d'en apprendre un par coeur, parce que. Je ne peux pas tout vous expliquer, parfois je n'y cromprends rien moi-même, je subis ce que ma tête me dicte. Mais revenons à nos moutons, rentrer sur Louvain, promenade de soirée autour du lac avec le co-kotteur, puis dormir une bonne treizaine d'heures (est-ce que ça se dit treinzaine? on s'en fout), ce lit est le seul dans lequel je dors et rêve. Rêves bizarres néanmoins, j'étais une plante qu'on jetait dans une piscine et ensuite je me transformais en humain et on devait m'envoyer à l'hôpital parce que la plante avait été abîmée alors du coup moi aussi. Quand je vous disais que parfois j'y comprends rien ... Monsieur voisin vient me chercher à la gare puisque parents occupés, on suit sur trois kilomètres une voiture qui a son clignotant droit bloqué, j'aime pas ça. Manger un Cha-cha, lire le courrier, sourire, se persuader que les choses vont bien, se remettre au boulot. Spirale. Infernale. En fin de compte. Vivement la fin.
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Dimanche 23 mai 2004 (21h03)

Fête du Maitrank
La fête du Maitrank (alcool local) est un des évènements majeurs d'Arlon donc on se devait quand même un peu d'aller y faire un tour. Déambulations dans la ville toute la soirée à boire des godets offerts, j'ai pas dépensé un cent. Je revois des gens perdus de vue depuis des années, d'autres ne me reconnaissent pas, d'autre seulement après coup et passent leur main sur ma tête pour la secouer en disant "comme t'as changée, je t'aurais pas reconnue". Le feu d'artifice est absolument exceptionnel et Jeff Bodart ne nous intéresse finalement pas des masses. Je rencontre le sosie de Jason Lee qui parle de partir au Laos, mais j'ai pas compris toute l'histoire. On rentre tard/tôt et quand je me lève la maison est déjà vide, je me traîne jusque sur la terrasse et mon oeil gauche déconne, m'indiquant qu'il s'agit d'un lendemain de veille, même si l'estomac se porte comme un charme. Bon, mémoire demain, s'agirait de s'y remettre.
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Arrachage de dents à la tronçonneuse
Et puis hier j'ai jeté un oeil à ça aussi :
UN et DEUX
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Samedi 22 mai 2004 (15h15)

Ciel en sauce
J'écoute la chanson en boucle parce que j'adore et puis d'ailleurs la nouvelle est très chouette aussi, enfin c'est vrai que si on n'aime pas Dionysos alors y'a rien à faire vraiment mais peut-être quand même écouter un peu histoire de se faire une idée, faudrait pas juger sans connaître. Non plus.
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Bataille adapté
Georges Bataille m'a marquée par L'histoire de l'oeil lu l'été dernier. Un autre de ses récits (inachevé), Ma mère est adapté au cinéma par Christophe Honoré avec comme acteurs Isabelle Huppert et le très plaisant Louis Garrel qui jouait dans le tout aussi plaisant Innocents. Parlant de L'histoire de l'oeil, Gaspar Noé (réalisateur de Seul contre tous et Irréversible) avait eu pour projet de l'adapter mais plus guère de nouvelles depuis, à voir, la section téléchargements de son site.

  Bande-annonce de Ma mère

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Vendredi 21 mai 2004 (00h50)

chut
Silence nuit, je peux entendre les mouvements du ciel, ma respiration de nez bouché, les rares moteurs qui passent dans la rue. Ambiance propice à la concentration, compagne de mes nuits les plus productives. Plus tard quand le jour sera levé, s'installer dehors et dormir, entourée de tous les bruits ressucités.
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Mercredi 19 mai 2004 (22h40)

De l'importance des backups
Hier soir, constatant une certaine défaillance d'Internet Explorer je décide de le réinstaller. Windows veut redémarrer pour compléter son travail, pas contrariante je clique sans aucune méfiance sur le petit bouton OK habituel. Et là patatras, c'est le dramatique drame (encore un), l'ordinateur se rallume, commence à lancer Windows puis s'éteint, se rallume et ainsi de suite à l'infini. Imaginez la panique qui m'empare alors, en fait je me suis dit "Ha ha ben ça c'est marrant alors, mon ordi plante royalement et j'ai même pas fait de backups de mon TFE et encore moins de mon ébauche de mémoire, hi hi hi (rire nerveux)". Bon, ne sachant rien faire à minuit et quelques j'ai bien dû attendre aujourd'hui pour emmener mon compagnon de travail chez Docteur Slump. On y a passé une bonne partie de l'avant-journée (comprenez de 11 à 13h) puis on a été chercher un McDo qu'on a mangé dans un champ assis sur des troncs d'arbre avec des drôles de mouches qui essayent d'être à la mode avec des rayures vertes fluos (j'ai failli écrire de drôles de moches mais notez que la suite de la phrase s'applique fort bien aux deux) et puis on a continué le petit chemin de champ en voiture et en fait ça arrivait à contresens sur les verdures qui bordent les autoroutes alors 'voyez on s'est dit qu'on allait p'têt quand même finalement faire demi-tour, bref! après toutes ces péripéties, retour dans le cabinet médical où on a réussi à récupérer tous mes fichiers bien aimés, on a ensuite formaté et maintenant je peux m'amuser à tout réinstaller, comme si j'avais que ça à faire 'voyez. Mais bon, ce qui est chouette c'est que je me dis que ç'aurait pu être pire, j'ai encore eu de la chance dans mon malheur quoi. Et aussi ça m'a permis de découvrir Albin de la Simone et je trouve ses chansons plutôt pas mal et son site assez classy. Et finalement cette phrase qui m'a cogné l'intérieur de la tête depuis hier comme pour me rassurer :

"C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut." (Chuck Palahniuk)

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Mardi 18 mai 2004 (20h40)

Commun lundi
Le soleil a chauffé l'alcool qui circule dans ton corps, ingurgité les heures précédentes en terrasse avec les Camarades, si bien que quand au Night Shop tu t'en vas avec ton Ice Tea fruit punch et ta Vodka Blue, le vendeur te dit "Bonne après-midi", tu comprends autre chose et répond "Non merci, ça va" avant de sortir, puis de réaliser. Il est alors 15h, tu vas dormir comme une masse jusque 19, il faut dire que tu n'avais dormi qu'une grosse demi-heure la nuit précédente. À ton réveil tu envoies un sms à L pour savoir si elle s'est perdue Place du poirier, là où elle se rendait quand tu l'as croisée. Elle te répond qu'elle est sur un balcon, te dit de sortir du kot et de marcher sur la droite, tu t'exécutes. Une tête apparaît plus haut dans les sphères, un bras se balance et te fais signe. Discussion au pied des escaliers pendant près d'une heure. Tu rentres ensuite et te tape dans le canapé devant un film que regarde le co-kotteur. Vous allez chercher une glace au Night Shop d'en face en guise de souper. Le film est nul, tu décides d'aller te coucher. Tu te réveilles à minuit moins le quart pour écrire, tu te recoucheras aux environs de deux heures et demi. Tu te relèveras une dernière fois trois quarts d'heure plus tard pour vérifier dans le petit Robert l'orthographe du mot Slaches, que tu ne trouves pas. Brice t'apprend aujourd'hui qu'il s'agit d'un belgicisme, tout en t'interrogeant sur l'orthographe du mot b.a.-ba. Se pose désormais l'énigme de la signification des lettres b.a. Les recherches sont vaines, le mystère reste entier. Les mémoires sont à rendre pour lundi, tu as toujours détesté les échéances.
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Liste du jour
Participation acceptée/confirmée pour Post-synchro phase 2
Lecture d'un article sur J-L Godard
Penser à acheter des Cha-cha pour avoir des slaches comme Pic.
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Happenings
Sans vouloir vous vexer vous êtes pas très forts à ça alors ça ne m'amuse plus, je crois que j'aime encore mieux faire des parties de Trivial Pursuit avec mon chat. Le #4 était pourtant on ne peut plus easy. Vous êtes décevants, ça y est, je l'ai dit.
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Samedi 15 mai 2004 (20h35)

Jacques Higelin prétend
C'est un petit texte trouvé à l'intérieur de l'album Boris Vian et ses interprètes je pense. Je saurais plus vous dire, c'était il y a un an ou deux mais je suis retombée dessus, alors je vous le montre parce que je le trouve bien.
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Happening #4
Pour le #3 certains avaient des éléments de réponse mais pas la totalité, dommage. Ici, un rien plus dur parce que ça tient en une ligne mais il n'y a rien d'impossible parce que je suis sûre que vous êtes nombreux à avoir lu ce bouquin.
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Et de Six
La revue Bordel sort un sixième numéro, voilà de quoi nous rassasier pour encore un petit temps.
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Stolen pics of the day
Sans poisson rouge qui fait des bisous sur les doigts mais c'est tant pis.
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Jeudi 13 mai 2004 (18h00)

Cannes (à sucre)
C'est bien, c'est beau, y'a plein de monde, plein de stars, plein de films et tout ça. Mais bon, c'est pas trop à la portée de tout le monde n'est-ce pas. Si toutefois ça vous intéresse : festival-cannes.org et puis le journal de Cannes ou encore Arte & Cannes.
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Caillou in ze shoes
Je mange des litchis dans le train, m'empiffre de violettes jusqu'à en avoir la langue toute mauve, dévore le dernier Nicolas Rey, bois un Ice Tea fruit punch aussitôt suivi d'un Ice Tea pêche. Hier soir on a bu des Chimay brunes et bleues dont on a comparé les goûts et odeurs en mangeant des Grills et en parlant de chimie, du nouveau labo, de la proton-quelque chose et autres affaires auxquelles je n'y connais rien. J'avais fait visité dans l'après-midi l'appartement à deux filles dont une plisse des yeux quand elle sourit, ce qui laisse apparaître une fossette minuscule sur le dessus des pomettes. Je n'avais jamais vu ça je pense. Il y a eu aussi le dernier Almodóvar au ciné, le passage à l'école et chez le bouquiniste, l'éternel sandwich thon-mayo-sans-crudités, le train, les gens sur le quai, ceux qui ont un truc de plaisant comme une allure, des yeux, un sourire, une coupe de cheveux. Ceux que vous voudriez connaître, ceux que vous voudriez tenir par la main. Mais ce genre de choses ne. Des gens qui m'aiment bien se demandent pourquoi je suis seule, hé bien, je fais physiquement les 3/4 de mon âge, j'ai des pièces qui traînent au fond des poches, j'offre des poussins, je suis une vraie tête de mule, je m'habille n'importe comment et je m'en fous, j'ai des goûts trop prononcés pour le ciné et les bouquins, je ne porte jamais de montre, j'ai une mauvaise opinion de moi, j'aime dormir beaucoup (quand j'y arrive). Toutes ces raisons valables. Sans oublier les autres.
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Mardi 11 mai 2004 (01h40 am)

Like a Monday
" (...) mais c'était encore de l'esbrouffe", une fois de plus les mots de mademoiselle C. font intrusion dans ma vie, comme un écho aux compliments que j'ai reçu tout au long de la journée. Don't walk on the dog, please. Nice shot.
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"Les seuls gens qui existent sont ceux qui ont la démence de vivre, de discourir, d'être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant, ceux qui ne savent pas bâiller." (Jack Kerouac - Sur la route)

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Dimanche 09 mai 2004 (20h55)

Happening #3
Le #2 n'était pas bien difficile, vous avez repris confiance en vous alors on recorse un peu les choses. Non mélomanes s'abstenir.
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Révélations - Mot au lecteur
Cher lecteur, le temps des aveux a sonné, depuis quelques semaines maintenant je te cache des choses. Non je ne t'ai pas menti mais j'ai très volontairement omis de te parler de quelque chose qui ces dernières semaines a pris de l'importance. J'avais peur, vois-tu lecteur, de ta réaction. Peur de te décevoir, peur que tu me vois à présent différemment et que tu quittes ce site à la hâte pour ne plus jamais y revenir. Comprend bien lecteur que je n'ai pas eu le choix, tu aurais certainement agi de la sorte à ma place, crois-moi. C'est en janvier qu'on m'en a fait la proposition et après quelques jours de réflexion, je n'ai pu faire autrement que d'accepter. Mes poches d'étudiante étaient vides, ma soif de lectures toujours plus intense ... il me fallait dire oui. Lecteur, j'ai mis au placard une partie de mes convictions et préjugés. Lecteur, j'ai vendu mes mots. Lecteur, j'écris pour Flair et mes courts textes sont publiés depuis quatre semaines maintenant. Voilà, il fallait que tu saches.
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Samedi 08 mai 2004 (14h41)

Happening #2
J'ose à peine y croire, personne (mais vraiment personne) n'a trouvé la réponse du Happening #1 et pourtant je suis sûre que nombreux sont ceux qui ont lu le livre. Qu'à cela ne tienne, voici le #2 pour vous rattrapper. Pour la réponse du premier allez cliquer plus bas sur Happening #1.
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Thomas Fersen again
Comme j'ai toujours eu une chance un peu particulière, plutôt sournoise vous voyez? j'ai gagné deux places pour le concert de Thomas Fersen ce mardi 11 au Zénith de Paris. Evidemment, pour cause d'une surcharge de travail excessive je ne pourrai pas m'y rendre. J'ai bien du mal à trouver des personnes qui soient libres pour aller en profiter à ma place d'ailleurs. J'attends encore une réponse sous peu mais si elle est négative, ça intéresse quelqu'un?? Envoyez un mail ici.
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Vendredi 07 mai 2004 (12h00)

Happenings - Explications
J'avais décidé de mettre régulièrement différents Happenings à l'entrée du site histoire de vous tester un peu et puis je trouvais ça sympa et tout. Le problème c'est que pour le premier par exemple, personne n'a trouvé la solution donc vous envoyiez tous des formulaires vides afin d'accéder au weblog, c'est un peu dommage (vous me décevez beaucoup). Alors je vais mettre les Happenings en liens, pour ceux qui voudraient essayer, s'ils pensent qu'ils ont les réponses.

  Happening #1

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Go visit them
365 : 365 jours, 365 images.
Monsieur Chapeau : excellent photographe + sorties, expos, liens
Le teaser de Etre, tfe de Brice & Co (je les connais! je les connais!)
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6 May : Birthday & poussins
Tout est dans le titre, joyeux anniversaire Camille.
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Mercredi 05 mai 2004 (14h20)

Bukowski adapté au cinéma
Après le film Barfly sorti sur grand écran en '87 c'est désormais au tour de Factotum d'être adapté par Bent Hamer, le réalisateur de Kitchen Stories. Dans les rôles principaux : Matt Dillon et Marisa Tomei. Pour les 10 ans de sa mort ça tombe plutôt bien.
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Houellebecq, des nouvelles
Michel Houellebecq a l'art de se faire attendre, c'est donc en 2005 que sortira son prochain livre, chez Fayard, mais également l'adaptation de ce dernier puisqu'il a signé en parallèle un contrat chez GMT Productions. À suivre.
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Et sinon
Warhol + polaroïds : Galerie Vedovi (11, boulevard de Waterloo,1er étage) jusqu'au 29/05. Exposition de polaroïdes prises par le pape de la pop. Du mercredi au samedi de 11 à 18h. Allez-y, c'est gratuit. Et la version féminine de Jérôme Laperruque : une starlette
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Mardi 04 mai 2004 (22h15)

Books, video & listening
Un nouveau Paul Auster, La nuit de l'oracle.
Un article dessus, puis un autre sur l'ensemble de son oeuvre.
Lolita Pille sort quant à elle Bubble gum. Et hop.
Et puis je sais plus si je vous avais dit, l'autre jour j'ai regardé Eternal sunshine of the spotless mind parce que Darnziak en parlait avec beaucoup d'enthousiasme et en effet c'est excellent, une très bonne coopération entre Michel Gondry et Charlie Kaufman (mon scénariste favori). Si vous en avez l'occasion, watch that movie !
// le trailer // le site // un avis //
Et sinon pour les noreilles ces temps-ci j'écoute encore bien Radio-Canada partie culture, comme de toutes façons je travaille non-stop et que je vois plus grand monde, autant se dépayser totalement.
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Lundi 03 mai 2004 (22h00)

Thomas Fersen au Cirque Royal
Vendredi 16h43, la poyette et moi-même embarquons dans le train en direction de Bruxelles munies de deux cannettes de Coca, deux bouteilles d'eau et des roulettes Haribo, histoire de ne pas défaillir avant d'arriver. Un sachet de pâtes Carbonara de Knorr est sensé constituer notre repas du soir. Promesse tenue, aux alentours de 19h20 l'engin de la SNCB nous débarque en gare de Bruxelles-Central. Une fois à l'extérieur c'est sous la pluie que je déplie mon petit plan pour essayer de localiser le chemin à emprunter. Nos semelles lisses sur les dalles tout aussi lisses de la Rue des colonies ont failli nous jouer de mauvais tours mais il en faudra plus que ça pour nous arrêter. Le sens d'orientation des Flo semblant fort développé, c'est sans soucis et bien à l'heure que nous arrivons au Cirque Royal. On confie nos sacs au vestiaire près d'une jeune fille bien sympathique puis on se dirige vers nos places. Pas difficiles à trouver, dans le parterre A c'est-à-dire juste en face des portes, à 7 rangées de la scène. Il aurait été difficile de faire mieux. Après une première partie qui a sérieusement failli nous endormir (Jawhir serait-il un groupe pour dépressifs?), arrive Thomas avec la chanson d'usage Deux pieds. Il passera en revue le nouvel album mais également d'autres plus anciens, je suis étonnée d'entendre autant de personnes du public fredonner avec lui ces chansons-là. Fersen est comme on l'imagine, un brin désinvolte et flegmatique, ce qui ne l'empêche pas de déployer une énergie incroyable pour conquérir un public qui l'aime d'avance et aussi de nous faire part de ses talents de danseur. Un rappel puis deux puis le troisième qu'il fera sans ses musiciens, chantant quelques bijoux a capella accompagné du public. Nous aurons eu beau les réclamer, il ne chantera tout de même pas Les papillons (qui selon lui sont en train de sécher au grenier) mais tout le reste y passera. Il finit en disant qu'il nous rejoint au bar, nous devons hélas (trois fois hélas) laisser la chance de le rencontrer à d'autres, on sort du Cirque en chantonnant Elisabeth, "J'ai raté le dernier métro, je sais, c'est une fois de trop". Un concert inoubliable. Du grand Fersen, vraiment. Nos ventres affamés se délecteront du sachet de pâtes cuisiné malgré les stations de métro, les kilomètres à pieds et l'heure 30 du matin. Le lendemain, petit tour au marché de Stockel pour une gauffre de Liège et une de Bruxelles puis à nouveau le métro, et le train, des souvenirs plein la tête. Merci Thomas.
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